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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 11:04

Myriam Deweirdt

Vidéo Myriam Deweirdt

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13 mai 2017 6 13 /05 /mai /2017 10:15

Je me suis éloigné de mon espace pictural habituel pour aller, dans ce triptyque, vers des variations colorées et une représentation abstraite de paysages informels ou la mise en place du flou a pris une grande importance.

Ces toiles s’opposent par les différents contrastes et couleurs, saturées et franches, pastels et tendres, foncées et chaudes.

La construction des espaces et les vibrations nous emmènent vers l’harmonie et l’équilibre.

Gérard Pérachon/variations colorées

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7 mars 2017 2 07 /03 /mars /2017 15:28

Myriam Deweirdt

Vitrines/vidéos 1, 2 et 3.

Vitrine 1

Vitrine 1

Nous sommes séparés du monde par une légère fumée

Une brume adoucissante

Amortissement

Est-ce gravement nuisible pour notre santé ?

Nous sommes séparés du monde, comme sur une autre rive

Construire des ponts

Passer à gué

Faut-il se faire aider pour enjamber ?

Nous sommes séparés du monde par un mince papier de soie,

Réalité déformée, diminuée, 1D,

Pour atténuer l’innommable, l’intranquille, l’arrière fond

Mais

Ne pas fermer les yeux

Nous sommes séparés du monde,

Gap gouffre ou interstice

Juste l’espace nécessaire pour l’écriture

Vitrine 2/La boîte à Post-It.

Vitrine 2

Vitrine 2/La boîte à Post-It.

Vitrine 3

Vitrine 3

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6 mars 2017 1 06 /03 /mars /2017 15:47

Olivier Violleau

1-Portrait/exposition/affiche

Exposition 2017 por-traits

2-Composition d'après un tableau de Antoine Watteau.

Le départ de ce travail est un tableau de Antoine WATTEAU (1864-1721). " l'embarquement pour Cythère ".

Si on suit de la droite vers la gauche les personnages,il se dégage une notion de mouvement de cette scène.

Je voulais comprendre comment le peintre avait traduit l'idée de déplacement .

C'était pour moi aussi d'expérimenter graphiquement la notion de mise en mouvement et de l'installer concrètement dans ma vie de tous les jours.

Olivier Violleau

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5 février 2017 7 05 /02 /février /2017 20:33

Christiane Sottile

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5 février 2017 7 05 /02 /février /2017 17:31

Roberta Lustrissy

Silhouettes

L'humain est d'abord rentré dans mes créations avec une notion de foule.

Des personnages de dos, coupés en bandes et recomposés aléatoirement

comme si la foule elle même devenait un personnage à part entière.

Par moments la foule se tient unie et crée une palissade ; à d'autres moments

les bandes se séparent et les personnages prennent vie séparément.

On joue avec tous les éléments, on crée des univers différents,

les personnages communiquent entre eux, se tournent le dos ou se font face.

Parfois une silhouette seule investit l'espace, à côté des briques oubliées

ayant servi de support à d'autres personnages ; parfois l'espace en accueille plusieurs.

Palissade (Roberta Lustrissy) 2016

Série 1

J'ai peint les premières silhouettes sur un support léger et fragile,

le nuancier a dicté au hasard les couleurs et les dégradés, ensuite

coupées en bandes, les silhouettes sont recomposées sans réflexion

préalable et constituent ensemble une palissade humaine.

Fragile comme les matériaux qui lui ont donné naissance ?

Au fil des jours, les formes changent, parfois se dissipent,

restent des fragments témoins d'une présence antérieure et du temps

qui passe et modifie les choses.

Palissade (Roberta Lustrissy) 2016

Série 2

Le support devient plus stable et durable.

Des bandes de contreplaqué sur lesquelles les silhouettes ont pris forme

par un jeu de collages superposés ; papiers journaux et grandes feuilles

peintes de nuances différentes, puis déchirées et superposées.

La réalité du quotidien qu'apportent les journaux s'imprime sur les silhouettes

les rendant vivantes, empreintes de contemporanéité.

Parfois découpés, parfois entiers, les contreplaqués s'adossent à un mur formant

une nouvelle palissade, ou tiennent sur pied et s'entremêlent comme en mouvement.

Palissade (Roberta Lustrissy) 2017

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23 novembre 2016 3 23 /11 /novembre /2016 18:04

Caroline Navarro

Couleurs, mouvements, émotions

Chercher en soi, dans sa profondeur, l'enfoui, l'inconnu, ce désert infini

Charge d'un fardeau trop longtemps porté, peurs inavouées, refusées, oubliées

Passage éclairé, chemin de guérison

Vent de liberté

Remuer

Hésiter

Plonger

Observer

Ressentir

Résister

Laisser aller

Accueillir

Avancer

Découvrir

Créer

Révéler

S'aventurer

Oser

Rencontres, pas à pas

Lien vers l'autre, fragile

Partage, richesse de l'humanité

Des racines et des ailes, octobre 2016

Caroline N.-

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 18:04

Marie Françoise Boutillon

"D'une peinture imaginaire figurative à des espaces plus abstraits je joue entre Verticalité et Horizontalité pour exprimer mes propres rêveries.

Par des contrastes noirs et blancs quelquefois soulignés de gris , j'impose une gamme de couleurs uniques qui matérialisent mes paysages architecturés."

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19 novembre 2016 6 19 /11 /novembre /2016 18:06

Pascale Meynardi

On essaie souvent de réduire des événements à des courbes ou des pourcentages. Ceux ci perdent toute sensibilité et signification.

A travers cette installation, j’interprète avec un oeil différent ces données purement mathématiques.

installation: boites bois peintes + tissus voilage peints tendus

Les corps sont porteurs d’émotion, à l’image de la société et des événements.

A travers son corps, l’homme est acteur et crée des espaces avec une chorégraphie faite de mouvement, de déséquilibre, de matières qui se superposent pour trouver des transparences, des opacités, des amalgames, des vides, des passages, des mélanges...

installation: boites bois peintes + tissus voilage peints tendus

Pourquoi des boites ?

Des boites que l’on regarde comme spectateur mais aussi comme acteur à travers les espaces créés:

espaces clos qui limitent; rien ne se perd, rien ne se crée pour l’eau,
inexorables pour les températures,
étouffant et enfermant pour les migrants...
espaces ouverts, qui permettent une issue, un espoir (mur), une idée de l’infini (évolution des religions)...

installation: boites bois peintes + tissus voilage peints tendus

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18 novembre 2016 5 18 /11 /novembre /2016 18:07

Liset Marie Christine

Une phrase : « l’illusion de croire que le monde dans lequel nous vivons va rester stable »

Une conviction : l’instabilité, le déséquilibre sont nécessaires pour tendre vers l’équilibre.

Une création : A l’aide de coupures de magazines, j’ai effectué des collages y insérant des articles récupérés sur Ai Weiwei notamment sur «BANG», une installation de 886 tabourets en équilibre instable.

Ce travail m’a amené à construire des plages rondes coupées par des droites soulignant la fragilité de toute construction.

Afin de réaliser ce travail, plusieurs étapes se sont succédées:

- Tout d’abord, j‘ai construit des lignes aléatoires droites et courbes, ces lignes se superposent, les plages de couleurs suivent le trait.

Julien Prévieux m’a inspiré, il joue avec les codes et produit des oeuvres graphiques conceptuelles à partir d‘éléments concrets (par exemple ses travaux avec la BAC de Paris).

- Ensuite, après une visite à la biennale d’art contemporain de Venise, relier la photographie et la peinture m’est apparu pertinent.

A cette fin, j’ai réalisé des photographies d’architectures que j’ai photocopiées en noir et blanc. Après en avoir extrait des plages architecturées, je les ai marouflées sur un support papier.

Des lignes, outil nécessaire à la construction de mon environnement créatif, ont permis de relier les photographies entre elles.

Des tracés au fusain ou à la peinture avec des tons de dégradés de gris et de beige ont accentué le déséquilibre.

Et c’est en jouant avec les plages de peintures, matières visuelles composées d’intensités lumineuses, m’inspirant des photographies réalisées, que je retrouve un équilibre que je sais forcément temporaire.